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crimes à Kiambou était le plus élevé du pays. Aucune église n’arrivait à croitre au-delà de trente membres.

En 1988 le seigneur se révèle à un couple pastoral missionnaire Thoma et Margareth Muthee, et les demande de se rendre à Kiambou afin d’implanter une église dans la ville. Les collègues pasteurs à NAÏROBIE pensaient que cette idée était de la folie, ils n’hésitaient pas à le faire savoir. Car évidement Kiambou étaient une ville très dangereuse.

Quelques temps après leur arrivée dans la ville, le couple pastoral Thoma et Margareth comprit tout ce qui se passait dans la ville était d’origine spirituelle. Il disait : << Notre problème n’est pas les habitants de la ville mais les œuvres du diable dans la ville >> en citant Eph 6:12. A cela, il jeuna et pria en demandant à Dieu de se les révéler le véritable problème de Kiambou. Après des temps de prière, il comprit que tout ce qui arrivait dans la ville était à cause d’un esprit de sorcellerie qui régnait sur la ville. Cet esprit était lié à une femme nommé mama Diane, bien qu’elle se dise chrétienne et qu’elle ait appelé sa maison de divination : clinique Emmanuelle, ses affaires étaient de la pure sorcellerie. La clientèle de mama Diane était des grands hommes d’affaires et des hommes politiques.

Cela conduit les Muthees à prier pour la délivrance de la ville. Six mois plus tard dans la prière, il eut l’assurance que la forteresse qui hantée la ville avait était vaincu. Thoma profita de lancer sa première croisade. A la fin de la semaine plus de deux cent personnes furent convertis et les guérisons, les miracles s’en suivaient. Il commença à avoir un changement.

Affligé par ces événements mama Diane commença à contre attaquer par la sorcellerie. Une grande oppression descendue sur les réunions de prière et de louanges. Ayant réalisés qu’ils avaient affaire à des forces démoniaques, les croyants prirent autorité sur la situation et prièrent pour deux choses : que mama Diane soit sauvée ou qu’elle quitte la ville. Quelques jours après, mama Diane fut dépossédé de sa puissance elle fit ses bagages et quitta la ville.

Dès que cette puissance de sorcellerie fut détruite, la présence de Dieu commença à venir sur la ville. L’atmosphère entière changeait. Alors qu’au-par avant les gens ne sortaient la nuit, Kiambou commença à avoir le taux de meurtres le plus bât du pays. Les lieux qui autre fois étaient

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